Légende d'AutomneDans un temps très lointain notre planète se nommait Emeraude. Son peuple l’avait appelée ainsi à cause de la couleur bleu vert que lui donnaient les arbres qui la recouvraient.
Ses habitants vivaient en harmonie avec la nature. Ils prenaient un soin immense envers les arbres. Leurs cœurs vibraient pour ces êtres majestueux. Tous les enfants apprenaient à les écouter, à leur parler, à les soigner. Le magicien du village leur confiait ses secrets. Le plus grand était son amour infini pour la Vie... Le magicien leur montrait comment concocter de la poudre de musique. Cette potion avait un pouvoir magique sur les arbres. Le lieu où se réunissaient tous les magiciens de la terre se trouvait au bord de l’océan. Cet endroit se nommait Méduse ; plusieurs familles y vivaient. Leane et Loïc, deux enfants de ce village, passaient tout leur temps dans la nature. Chaque matin ils visitaient les arbres de Méduse. Depuis quelques jours, Leane sentait une certaine tristesse envahir les arbres. Avec l’aide de Loïc, elle parsema de poudre de musique les racines de chacun. Mais rien n’y fit. Leur mélancolie augmentait de jour en jour et leur vigueur disparaissait. Leane alla trouver le magicien du village qui lui conseilla de parler à Sâge, l’arbre le plus vieux de la région. La petite fille marcha toute la journée. A la nuit tombée, elle distingua une ombre majestueuse, Sâge se tenait devant elle. Sa beauté émut l’enfant. Elle lui demanda la raison de cette tristesse qui envahissait tous les arbres. Il se pencha vers Leane et son feuillage lui murmura le secret. Depuis plusieurs semaines un nuage de glace avançait vers la terre. Si rien ne l’arrêtait, il gèlerait la surface de la planète et anéantirait toute vie. Bouleversée, la petite fille courut rejoindre son ami Loïc et le magicien du village. Des larmes plein les yeux, elle leur expliqua la situation. Loïc ne disait rien. Après une nuit de sommeil agité, les deux enfants se retrouvèrent au bord de l’océan. Plusieurs heures de réflexion firent jaillir une idée qui les enchanta : réunir tous les habitants d’Emeraude à Méduse, pour unir leurs souffles, afin d’éloigner ce nuage de glace. Le temps pressait et ils n’avaient pas assez de coursiers ni de parchemins pour avertir tous les habitants. Leane fit part de son idée à Sâge qui lui demanda de revenir au lever du jour. A l’Aube, Leane était là devant lui. Le vieil arbre avait consulté ses congénères. Ensemble ils avaient décidé de donner tous leurs feuillages en guise de parchemins pour écrire aux habitants de la planète. Le vent qui les avait entendus, leur proposait d’être leur messager et de transporter dans sa course folle, toutes les feuilles. Les arbres abandonnèrent leurs feuillages. Le village se mit au travail. Le signe fut inscrit sur chaque feuille. Puis le vent souffla de plus en plus fort en entraînant ces milliers de messages. Trois lunes plus tard, Méduse était inondée de monde. Tout le peuple d’Emeraude était réuni. Le magicien leur demanda de se grouper au bord de l’eau et de souffler de toutes leurs forces vers le ciel. Le nuage de glace qui pointait au loin depuis plusieurs jours, s’éloigna gracieusement sous les yeux inondés de joie de la foule. Une douce chaleur enveloppa la planète et la nature s’éveilla. En souvenir de ce jour glorieux, les arbres perdent leurs feuilles chaque année, aux premiers frissons de l’automne... ... et si quelqu’un vous dit que ce n’est qu’une histoire, restez muet jusqu’aux premiers jours de l’automne. Promenez-vous sous les arbres et ramassez délicatement une feuille morte... Si vous l’observez vraiment attentivement, vous y découvrirez le signe qui permit aux habitants d’Emeraude de se réunir pour sauver leur planète. |
TchantchèsTchantchès, parfois écrit Tchantchèt, est un personnage issu du folklore liégeois (Belgique) représenté par une marionnette.
Wikipedia Nous sommes en 760 dans la bonne ville de Liègeen Belgique. C’est le mois d’août et un bébé vient miraculeusement de voir le jour entre deux pavés du quartier " Djus-d’la-Moüse " au-delà de la Meuse. C'est un quartier mal aimé, méprisé même, des bourgeois de la ville. Il y a là-bas tout un peuple d’artisans, d’ouvriers et de commerçants qui vit en bonne intelligence dans un esprit d’entraide et avec un amour de la liberté.
La naissance de ce bébé rose et potelé se répand de ruelle en impasse et chaque habitant veut voir le nouveau-né. Quelle n’est pas la surprise des habitants de l’entendre gazouiller. Il s’éclaircit la voix puis se met à chanter. La chanson qu’il chante est loin d’être anodine ; c’est une chanson à boire et il l’entonne à pleins poumons : "Allons la Mère Gaspard, encore un verre, encore un verre !" Chacun se propose alors pour adopter un enfant aussi peu ordinaire. Les boulangers veulent l’élever avec leurs deux enfants ; il ne manquera jamais de pain, il sera bien entouré, bien aimé. Leurs voisins protestent. Ils n’ont déjà pas le temps de s’occuper de leurs enfants qui traînent dans les rues tout au long du jour. Que feraient-ils avec un enfant de plus ? Le mineur propose de le prendre chez lui. - Nous avons déjà cinq enfants, un en plus ne nous fait pas peur. Les voisins trouvent à redire. Ils n’ont déjà pas de quoi nourrir leur progéniture et se serrent la ceinture du 1 janvier au 31 décembre. Un peu à l’écart, à quelques pas du gros de la foule, un couple regarde le bambin avec des yeux remplis d’amour. Ils rêvent depuis si longtemps d’avoir un bébé. Timidement, ils s’avancent, main dans la main. - Nous pourrions peut-être le prendre chez nous. Nous lui donnerons de la tendresse et de l’amour. Nous n'avons pas d'enfant et une grande maison. - Bonne idée ! dit le charcutier. Qui plus est, vous habitez au centre du quartier. Nous pourrons ainsi voir souvent l'enfant. Il sera un peu notre enfant à tous et nous veillerons à ce qu’il ne manque de rien. - Maintenant il faut lui donner un nom ! dit le poissonnier. - Appelons-le François ! dit la mercière, c'est un nom joli et facile à retenir. Ainsi fut fait. Cependant au quartier Djus-d’la-Moüse, personne ne l’appelle François mais Tchantchès, un diminutif qui lui va plutôt bien. Le garçon est gai comme un pinson, toujours souriant. Il rit dès son lever et seule une chose le met en colère. Il ne peut supporter de voir un récipient contenant de l’eau. Pour nourriture, il reçoit des harengs saur qu'il trouve fort à son goût. Mais le hareng saur est excessivement salé et enflamme son gosier. Son père, à l’insu de sa femme, lui donne des biscuits trempés dans du Peket, un alcool de genièvre dont raffolent les Liégeois, qu'il aime beaucoup. Le jour du baptême de Tchantchès, toute la population s’est donné rendez-vous à l’église. Il y a tant de monde dans le bâtiment, qu’un mouvement de la foule déstabilise la marraine qui laisse échapper son filleul. Il vient heurter son nez sur le bord du baptistère. Il n'en faut pas plus pour qu'une rumeur se répande : Tchantchès est devenu invulnérable. Au fil des ans, son nez enfle, grossit, atteint une grandeur démesurée. Ses parents dépensent une fortune en baume et onguents de toutes sortes. Hélas ! rien n’y fait et le visage de Tchantchès devient difforme. Grâce à sa gaieté naturelle, son énorme nez ne le rend pas foncièrement laid mais plutôt drôle. Il devient même le modèle des masques de carnaval. Un jour, qu'il attrape la rougeole, le médecin lui prescrit de boire un verre d’eau ferrugineuse chaque matin pour le guérir. Sa maman rassemble dans une marmite remplie d’eau tout ce qu’elle possède comme objets en fer : des clous, des fers à cheval, des vieilles clés ... Chaque matin, elle prélève un verre de cette mixture. Ce n’est pas bon du tout mais Tchantchès est un enfant obéissant qui ne veut surtout pas faire de peine à sa mère. Il vide son verre d’un trait en faisant un terrible grimace. Un matin, il vide son verre comme à son habitude mais un morceau de fer reste coincé dans son gosier. Il ne peut plus lever ni baisser la tête, seulement la tourner de droite à gauche et de gauche à droite. Comme il aime tout particulièrement regarder les nuages, il prend l’habitude de se coucher sur le dos pour les contempler. Pour regarder les insectes sur le sol, il se couche sur le ventre. Sa joie de vivre n’est pas altérée pour autant. Tchantchès grandit. En se regardant dans le miroir, il se rend compte de sa laideur. Il a honte, il est de plus en plus malheureux. Il ne sort de sa maison que le soir ou lorsqu’il est certain de ne rencontrer personne dans la rue. Il souffre atrocement de la solitude alors qu’il est fait pour rire, pour chanter et être bon avec le monde. En 770, il vient d’avoir dix ans. A l’approche du 15 août et des fêtes de l’Assomption, les habitants recherchent activement celui qui acceptera de jouer le rôle de Saint Macrew. Personne ne veut se balader toute la journée dans une chaise à porteurs, le visage maculé de suie et devant subir les quolibets des villageois. Tchantchès, las de solitude, se propose et plutôt que de plier l’échine sous les plaisanteries, il répond du tac au tac ce qui lui vaut l’admiration de tout le quartier. La laideur est peu de chose et l’humour et l’intelligence la font bien souvent oublier. Il a été sacré " Prince de Djus-d’la Moûse " et rencontre bien d’autres aventures. On dit qu’il est enterré place de l’Yser là ou s’élève encore aujourd’hui sa statue. Si vous passez par Liège, dans ce quartier, regardez bien... vous le rencontrerez certainement car il est immortel. |
La légende du sirop d'érableOrigine : Quebec
Bien avant l'arrivée de Christophe Colomb, les tribus amérindiennes savaient comment recueillir la sève des érables et la transformer en sirop d'érable. Et à leur tour, les Amérindiens ont appris à nos ancêtres à fabriquer le sirop d'érable. Mais les Amérindiens, eux, comment ont-ils appris ? Une des nombreuses légendes raconte qu'un petit écureuil grimpa le long d'un tronc d'arbre, mordit sa branche et se mit à boire. Un Amérindien se trouvant au pied de cet arbre le regardait et se demandait pourquoi, puisqu'une source d'eau fraîche coulait tout près. Il imita l'écureuil en faisant une fente avec son couteau ... surprise, l'eau qui s'en écoulait était sucrée ! Jusqu'alors, sa tribu ne trouvait du sucre que dans les fruits sauvages.
Et voilà qu'il existait un arbre qui pleure du sucre en larmes de cristal. En plus, il venait de découvrir un remède contre le scorbut dont les siens souffraient souvent au printemps. Tout ça parce qu'il avait regardé et imité un écureuil en train de se désaltérer avec la sève d'érable. Cette petite légende de la découverte du sirop d'érable a été confirmée par le frère Marie-Victorin, grand naturaliste et savant québécois il y a bien des années, auteur illustre de la Flore laurentienne. Les Amérindiens auraient donc appris en observant l'écureuil roux. En effet, lorsque qu'une branche d'érable à sucre casse sous le poids du verglas, la blessure causée coule au printemps. De cette entaille naturelle, la sève suit toujours le même trajet, parfois même jusqu'au pied de l'arbre. Jour après jour, le chaud soleil printanier évapore l'eau et il ne reste finalement qu'une traînée de sirop et même de tire d'érable que les écureuils roux lèchent goulûment. Saviez-vous que les Amérindiens au 16e siècle utilisaient l'eau d'érable comme médicament et se l'étendaient sur le corps pour se purifier ? Le sirop d'érable est depuis longtemps ancré dans les us et coutumes des gens de chez nous. On pourrait même dire que la sève d'érable coule dans nos veines. Mais qu'en est-il de l'origine de ce produit ? L'origine de la découverte de l'eau d'érable comporte un bon nombre de légendes et d'histoires farfelues. Certains racontent qu'un Amérindien aurait découvert la sève d'érable en apercevant ses chiens se chamaillant autour d'une branche pour lécher la sève qui y coulait. Ce comportement aurait piqué sa curiosité et lui donna l'idée d'y goûter. D'autres, par contre, émettent l'hypothèse qu'un écureuil mordant une branche pour en boire le jus en serait l'animal responsable. Le jus de l'érable sauvera plus tard plusieurs milliers de vies en venant à bout du terrible scorbut qui décimait les populations au printemps. Merci donc à ce meilleur ami de l'homme et à cet amateur de noisettes ! Plusieurs légendes amérindiennes existent sur la découverte du sirop d'érable. Une de celles-ci est particulièrement amusante. Elle s'appelle la légende de Nokomis (qui veut dire Terre). Elle raconte que la grand-mère de Nokomis aurait été la première à percer des trous dans des troncs d'érable pour en faire couler la sève d'érable. Le sirop étant prêt à manger sur-le-champ, il devenait trop facile pour les hommes de le recueillir et ils développeraient ainsi leur paresse. Donc, la solution était de les obliger à passer des nuits entières afin de surveiller la cuisson du sirop. Cependant, craignant que sa grand-mère oublie de prendre les mesures nécessaires pour combattre la paresse des hommes, le jeune Nokomis grimpa un soir tout en haut d'un érable à l'aide d'un vaisseau rempli d'eau et versa le contenu à l'intérieur de l'arbre, changea alors le sirop d'érable en sève d'érable. Depuis ce temps, au lieu d'un sirop épais, l'érable possède en lui une eau que l'on doit faire bouillir plusieurs heures afin d'en tirer un liquide épais et sucré. Les Amérindiens ont pour la première fois extraient la sève sucrée de l'érable bien avant l'arrivée des Européens en sol de la Nouvelle-France. Ils faisaient couler l'eau d'érable à l'aide d'une entaille à l'aide d'un tomahawk et fixaient ensuite en bas de cette entaille un morceau de bois qui faisait couler l'eau vers un récipient en écorce. La sève était ensuite bouillie dans un contenant d'argile pour le transformer en sirop. Toute une découverte faut le dire, car jusqu'à ce jour, le seul sucre qu'ils connaissaient provenait des fruits sauvages. Outre l'utilisation médicinale, les Amérindiens utilisaient la sève d'érable à d'autres escients. Par exemple, avec des procédés archaïques, ils faisaient bouillir l'eau d'érable pour le changer en sirop afin d'améliorer le goût insipide de leur nourriture. Ils en aiment la valeur nutritive et énergique. Davantage outillés, les Européens venus s'établir en Nouvelle-France améliorèrent les techniques plutôt primitives des premiers cueilleurs d'eau sucrée. Par contre, il a fallu attendre le début de 20e siècle pour voir naître une véritable industrie du sirop d'érable: les premiers colons étant plus intéressés au commerce des fourrures et de l'exploitation des forêts. Au début des années 1900, la cueillette de l'eau d'érable relevait de la tradition et du folklore familial. L'habitant entaillait ses érables sur sa terre en vue d'une consommation individuelle ou pour ses parents et ses amis. Le temps des sucres était une période de fête. Le «ramassage» de l'eau d'érable s'effectuait à l'aide d'un traîneau tiré par un boeuf ou un cheval. Il exigeait un bon nombre de participants et une bonne dose d'énergie. Le sirop d'érable est marginalisé. Aucun commerce à grande échelle. Aucune exportation. Le sirop d'érable demeure un produit de consommation banalisé. On a dû attendre la fin des années 1920 pour que le sirop d'érable sorte de son carcan folklorique et que les acériculteurs commencent à s'organiser et développer une véritable industrie de l'érable que l'on connaît aujourd'hui. |
Le secret des saisons
Écrit par tous les enfants du programme.
Le narrateur : Timeo - L’arbre : Adan - Le roi : Quentin - Le prince : Neokahn - Les fermières : Clea et Juliette - La vieille dame et la Reine des loups : Charlotte - La pomme : Aston - Villageoise en colère : Eloise - Villageois calme : William - Villageois malin : Elliot - Villageois cuisinier : Thomas - Villageoise mystérieuse et - Phoenix : Mathilde - Géant: Berti - Loup 1: Luke - Loup 2: Ismael - Fée: Cléa - Lutin: Jeff - Ecureuil: Leon - Octonauts: Dario - Pirate 1: Felix - Pirate 2: Eshan
Le narrateur : Timeo - L’arbre : Adan - Le roi : Quentin - Le prince : Neokahn - Les fermières : Clea et Juliette - La vieille dame et la Reine des loups : Charlotte - La pomme : Aston - Villageoise en colère : Eloise - Villageois calme : William - Villageois malin : Elliot - Villageois cuisinier : Thomas - Villageoise mystérieuse et - Phoenix : Mathilde - Géant: Berti - Loup 1: Luke - Loup 2: Ismael - Fée: Cléa - Lutin: Jeff - Ecureuil: Leon - Octonauts: Dario - Pirate 1: Felix - Pirate 2: Eshan
Scène 1
Narrateur: En suisse française, c’est l’Automne. Un roi marche dans la forêt, il trébuche sur des
feuilles mortes. Un petit moment plus tard, un arbre le surprend en lui parlant :
Arbre : Bonjour mon roi.
Roi: Euh, Bonjour... Mon arbre ?
L’arbre : Je peux te dire ton futur. Mais en échange tu dois faire quelque chose pour moi.
Roi: D’accord comme tu voudras... Arbre...
Arbre: Tu dois retrouver la feuille avec ce symbole. Il n’y en a qu’une. À ce qu’on m’a dit elle est au sommet de la montagne Efferost.
Roi: Et tu me diras tout mon futur ?
Arbre: Tu peux choisir une personne pour t’accompagner, tu as trois jours.
Roi: Très bien, je choisis mon fils, le prince.
Narrateur: Le roi est méfiant, mais tout de même, il se met en route avec son fils. Le soleil brille dans la forêt.
Prince: Ok, euh je suis très content de marcher avec toi mais en fait, est ce que tu pourrais me dire où on va exactement ?
Roi: On part en mission, on va à la recherche d’une feuille magique en haut d’une montagne pour un arbre qui parle. D’autres questions ?
Prince: C’est cool, haha très drôle, mais pour de vrai qu’est-ce qu’on fait ?
Narrateur: Le roi regarde son fils d’un air sérieux et inquiet. Le prince comprend qu’il dit la vérité.
Prince: Ah ok... -
Narrateur: Le roi et le prince arrivent dans une ferme.
Première fermière: Qui va la ?
Deuxième fermière: Allez-vous-en, propriété privée !
Première fermière: Vous allez rendre les animaux fous !
Deuxième fermière: Mais enfin dites-nous ! Qui êtes-vous ?
Roi: Je suis le roi !
Prince: Je suis son fils. On cherche une feuille, on doit trouver la montagne Efferost.
Première fermière à la deuxième fermière: C’est le roi, tiens toi bien.
Deuxième fermière: Très cher roi, prenez ces chevaux, ils sauront où aller.
Narrateur: Le roi et le prince sont de retour sur la route. Ils voient une vieille dame.
Vieille dame: Pauvres enfants... HA.... Une feuille...
Narrateur: La vieille dame s’en va en rigolant. Le roi et le prince sont confus. Il commence à faire nuit, ils ont faim et ont besoin de se rincer le gosier. Ils trouvent un village mais sur le chemin ils rencontrent une pomme.
Pomme: ATTENTION !!!! Vous avez failli m’écraser. Je suis tombé de mon arbre.
Narrateur: Les garçons prennent peur, une pomme qui parle, ils partent en courant.
Pomme: EHHH !!! Ne partez pas, cette branche m’écrase, s’il vous plait, aidez-moi !
Narrateur: Le prince sauve la pomme et ils arrivent tous les trois au village espérant trouver de l’aide car les chevaux se sont endormis et ils ont faim.
Villageoise en colère: CHUT ! Qui êtes-vous ? Des étrangers dans notre village ! Ah non, nous travaillons dur, vous nous dérangez, partez !
Villageois calme: Arrête de faire la potte*, tu ne vois pas qu’ils ont faim.
Villageois malin: Ils ont l’air très fatigué aussi.
Roi: Oui vous voyez nous avons fait une longue route.
Prince: Et on a trouvé une pomme par terre, on a si faim mais cette pomme parle on a préféré la sauver.
Villageois cuisinier: Tenez à manger ! Une bonne salade verte à la sauce tomate.
Villageois mystérieux: Si c’est l’Efferost que vous cherchez, allez vous réduire** près du lac,
demain est un autre jour.
*Expression Suisse qui veut dire : Faire la tête, être de mauvaise humeur.
**Expression Suisse qui veut dire : Aller se coucher
Scène 2
Narrateur: Le prince, le roi et la pomme se réveillent près du lac, parce qu’un géant fait trembler le
sol.
Géant: GRRR. Petites gens, que faites vous ici ?
Roi: Nous cherchons une feuille dans toute la Suisse.
Géant: Haha, petites gens, vous n’êtes pas en Suisse, vous êtes en Belgique !
Prince: Tout le monde a un super sens de l’humour aujourd’hui...
Narrateur: Le prince regarde autour de lui et réalise que le géant ne ment pas. Ils se sont réveillés en Belgique. Le géant s’en va en faisant trembler le sol quand tout d’un coup, une horde de loup apparait.
Le loup 1: Vous êtes dans notre territoire, vous allez voir ce que vous allez voir !
Le loup 2: Vous avez eu tort de vous réveiller ici.
Le loup 1: Vous ne nous faites pas peur.
Narrateur: Les loups se mettent à se battre avec le roi, le prince et la pomme.
Pomme: Arrêtez !!!!!!!!
Narrateur: Tout le monde s’arrête. Une fée apparait.
La fée: Ils ne sont pas là pour vous envahir mes chers loups... Ils sont à la recherche d’une énergie
immortelle. Mission qui leur a été donnée par mon ancêtre.
Narrateur: La fée disparait et laisse place à la reine des loups
La reine des loups: Ca suffit ! On rentre à la maison. Bon courage messieurs.
Narrateur: le prince, le roi et la pomme essayent de retrouver la fée et la reine des loups... elles savent quelque chose... mais où sont-elles ? Pendant leur recherche, un lutin leur rentre dedans.
Le lutin: Mais que faites-vous voyons, ouvrez vos yeux voyons. Cherchez voyons!
Le roi et le prince: hein ?
Le lutin: Mon or voyons! J’ai perdu mon or voyons!
Narrateur: Le roi, le prince et la pomme rigolent, il perd son or derrière lui en courant. Le roi, le prince et la pomme aident le lutin à ramasser son or.
Prince: Tiens ton or. Tu devrais peut-être éviter de courir si vite.
Roi: Pourrais-tu nous aider ? On cherche l’Efferost.
Le lutin: Vous êtes encore bien loin !
Narrateur: Le Lutin s’en va en courant à nouveau en faisant retomber son or. Les trois continuent leur marche. Ils ont faim.
Prince: Il est complètement maf* celui la... Papa, probons** de trouver un village.
Roi: Tu dis des choses bizarre mon fils ! Tu commences à parler belge !
Narrateur: Le village ressemble drôlement au village de Suisse, mais quelque chose à l’air différent...
Villageois calme: Bienvenue étrangers.
Villageois malin: Vous avez l’air épuisé.
Villageois cuisinier: Tenez, mangez avant de vous reposer.
Villageoise en colère : Mais ne faites pas trop de bruit, il y en a qui essaie de dormir.
Villageois mystérieux : Si c’est l’Efferost que vous cherchez, allez vous reposer près du lac, demain est un autre jour.
* Expression Belge qui veut dire : Fou
**Expression Belge qui veut dire : Essayons
Scène 3
Narrateur: Le roi, le prince et la pomme se réveillent. Ils sont réveillés par une petite voix qui
chante.
L’écureuil: Lalala. Bon matin* mes amis, où allez-vous ?
Roi: Nous cherchons l’Efferost.
L’écureuil: Ah ben ca tombe bien, vous êtes au bon endroit.
Prince: J’y crois pas... on a encore voyagé... On est où exactement ?
L’écureuil: Icitte** vous êtes au Québec.
Narrateur: Le roi, le prince et la pomme continuent leur marche, et l’écureuil les suit.
Tout d’un coup, ils trouvent un point d’eau, et sous un rocher un Octonaut*** les appelle.
Octonaut: Aidez-moi, je suis coincé sous un rocher, j’ai mal.
Narrateur: Le roi va soulever le rocher pendant que le prince délivre l’Octonaut mais à ce moment là, des pirates arrivent.
Pirate 1: Nous avons pour rôle de vous interdire l’accès à la montagne.
Pirate 2: C’est trop dangereux.
Roi: S’il vous plait !
Prince: C’est vraiment important !
Pomme: Un arbre leur a demandé !
Pirate 1: Bon allez y, grimpez. Mais on vous aura prévenu.
Pirate 2: A tantôt****.
Narrateur: Le roi, le prince, la pomme et l’écureuil arrivent en haut de la montagne et y trouvent un phoenix.
Le phoenix: Mes pauvres enfants, vous avez fait tout ce voyage pour rien. Pourquoi êtes vous ici.
Roi: On cherche une feuille.
Prince: Avec ce symbole.
Le phoenix: Je sais où est cette feuille mais je ne peux pas vous la donner gratuitement. Je la protège contre le mal.
Roi: Nous ne lui voulons pas de mal, un arbre en suisse en a besoin.
Prince: Il était gentil.
Le phoenix: Je vous dirais où se trouve la feuille si vous répondez à cette énigme:
Je suis 4.
Ma première fait sourire les fleurs Ma deuxième transpire
Ma troisième donne le premier frisson
Ma quatrième fait grelotter
Le roi, le prince, la pomme, l’écureuil en même temps: Les saisons
Le phoenix: Les enfants, vous l’avez mérité. Je suis la feuille. Je viendrai avec vous rencontrer cet
arbre.
Narrateur: Le roi, le prince, la pomme, l’écureuil et le phoenix retournent en Suisse voir l’arbre qui parle.
Arbre: Je t’avais dit une personne roi ! Vous êtes cinq.
Prince: Vous avez dit une PERSONNE. Il est avec une personne, un fruit, un animal et un oiseau.
Le phoenix: Pourquoi as-tu besoin de moi ?
*Expression Québécoise qui veut dire : Bonjour
**Expression Québécoise qui veut dire : Ici
***Personnage imaginaire inventé par Dario
****Expression Québécoise qui veut dire : À bientôt
Arbre: En automne j’ai perdu toutes mes feuilles, depuis que le roi est parti il fait froid, il neige, j’ai besoin de cette feuille pour retrouver mon énergie immortelle et faire renaître le soleil.
Narrateur: Le phoenix s’envole et tout d’un coup le soleil apparait et les arbres retrouvent leurs feuilles et leurs couleurs. La pomme remonte à l’arbre, l’écureuil s’endort près de l’arbre. Le roi et le prince n’y croient pas leurs yeux.
Arbre: Roi, je t’ai promis ton avenir. Veux-tu toujours le savoir.
Roi: Non. Grâce à toi arbre, j’ai vécu une aventure extraordinaire, j’ai rencontré des amis incroyables, surmonté des obstacles inattendus. Je ne veux pas savoir mon avenir je veux continuer à le découvrir avec mon fils.
Narrateur: En suisse française, c’est l’Automne. Un roi marche dans la forêt, il trébuche sur des
feuilles mortes. Un petit moment plus tard, un arbre le surprend en lui parlant :
Arbre : Bonjour mon roi.
Roi: Euh, Bonjour... Mon arbre ?
L’arbre : Je peux te dire ton futur. Mais en échange tu dois faire quelque chose pour moi.
Roi: D’accord comme tu voudras... Arbre...
Arbre: Tu dois retrouver la feuille avec ce symbole. Il n’y en a qu’une. À ce qu’on m’a dit elle est au sommet de la montagne Efferost.
Roi: Et tu me diras tout mon futur ?
Arbre: Tu peux choisir une personne pour t’accompagner, tu as trois jours.
Roi: Très bien, je choisis mon fils, le prince.
Narrateur: Le roi est méfiant, mais tout de même, il se met en route avec son fils. Le soleil brille dans la forêt.
Prince: Ok, euh je suis très content de marcher avec toi mais en fait, est ce que tu pourrais me dire où on va exactement ?
Roi: On part en mission, on va à la recherche d’une feuille magique en haut d’une montagne pour un arbre qui parle. D’autres questions ?
Prince: C’est cool, haha très drôle, mais pour de vrai qu’est-ce qu’on fait ?
Narrateur: Le roi regarde son fils d’un air sérieux et inquiet. Le prince comprend qu’il dit la vérité.
Prince: Ah ok... -
Narrateur: Le roi et le prince arrivent dans une ferme.
Première fermière: Qui va la ?
Deuxième fermière: Allez-vous-en, propriété privée !
Première fermière: Vous allez rendre les animaux fous !
Deuxième fermière: Mais enfin dites-nous ! Qui êtes-vous ?
Roi: Je suis le roi !
Prince: Je suis son fils. On cherche une feuille, on doit trouver la montagne Efferost.
Première fermière à la deuxième fermière: C’est le roi, tiens toi bien.
Deuxième fermière: Très cher roi, prenez ces chevaux, ils sauront où aller.
Narrateur: Le roi et le prince sont de retour sur la route. Ils voient une vieille dame.
Vieille dame: Pauvres enfants... HA.... Une feuille...
Narrateur: La vieille dame s’en va en rigolant. Le roi et le prince sont confus. Il commence à faire nuit, ils ont faim et ont besoin de se rincer le gosier. Ils trouvent un village mais sur le chemin ils rencontrent une pomme.
Pomme: ATTENTION !!!! Vous avez failli m’écraser. Je suis tombé de mon arbre.
Narrateur: Les garçons prennent peur, une pomme qui parle, ils partent en courant.
Pomme: EHHH !!! Ne partez pas, cette branche m’écrase, s’il vous plait, aidez-moi !
Narrateur: Le prince sauve la pomme et ils arrivent tous les trois au village espérant trouver de l’aide car les chevaux se sont endormis et ils ont faim.
Villageoise en colère: CHUT ! Qui êtes-vous ? Des étrangers dans notre village ! Ah non, nous travaillons dur, vous nous dérangez, partez !
Villageois calme: Arrête de faire la potte*, tu ne vois pas qu’ils ont faim.
Villageois malin: Ils ont l’air très fatigué aussi.
Roi: Oui vous voyez nous avons fait une longue route.
Prince: Et on a trouvé une pomme par terre, on a si faim mais cette pomme parle on a préféré la sauver.
Villageois cuisinier: Tenez à manger ! Une bonne salade verte à la sauce tomate.
Villageois mystérieux: Si c’est l’Efferost que vous cherchez, allez vous réduire** près du lac,
demain est un autre jour.
*Expression Suisse qui veut dire : Faire la tête, être de mauvaise humeur.
**Expression Suisse qui veut dire : Aller se coucher
Scène 2
Narrateur: Le prince, le roi et la pomme se réveillent près du lac, parce qu’un géant fait trembler le
sol.
Géant: GRRR. Petites gens, que faites vous ici ?
Roi: Nous cherchons une feuille dans toute la Suisse.
Géant: Haha, petites gens, vous n’êtes pas en Suisse, vous êtes en Belgique !
Prince: Tout le monde a un super sens de l’humour aujourd’hui...
Narrateur: Le prince regarde autour de lui et réalise que le géant ne ment pas. Ils se sont réveillés en Belgique. Le géant s’en va en faisant trembler le sol quand tout d’un coup, une horde de loup apparait.
Le loup 1: Vous êtes dans notre territoire, vous allez voir ce que vous allez voir !
Le loup 2: Vous avez eu tort de vous réveiller ici.
Le loup 1: Vous ne nous faites pas peur.
Narrateur: Les loups se mettent à se battre avec le roi, le prince et la pomme.
Pomme: Arrêtez !!!!!!!!
Narrateur: Tout le monde s’arrête. Une fée apparait.
La fée: Ils ne sont pas là pour vous envahir mes chers loups... Ils sont à la recherche d’une énergie
immortelle. Mission qui leur a été donnée par mon ancêtre.
Narrateur: La fée disparait et laisse place à la reine des loups
La reine des loups: Ca suffit ! On rentre à la maison. Bon courage messieurs.
Narrateur: le prince, le roi et la pomme essayent de retrouver la fée et la reine des loups... elles savent quelque chose... mais où sont-elles ? Pendant leur recherche, un lutin leur rentre dedans.
Le lutin: Mais que faites-vous voyons, ouvrez vos yeux voyons. Cherchez voyons!
Le roi et le prince: hein ?
Le lutin: Mon or voyons! J’ai perdu mon or voyons!
Narrateur: Le roi, le prince et la pomme rigolent, il perd son or derrière lui en courant. Le roi, le prince et la pomme aident le lutin à ramasser son or.
Prince: Tiens ton or. Tu devrais peut-être éviter de courir si vite.
Roi: Pourrais-tu nous aider ? On cherche l’Efferost.
Le lutin: Vous êtes encore bien loin !
Narrateur: Le Lutin s’en va en courant à nouveau en faisant retomber son or. Les trois continuent leur marche. Ils ont faim.
Prince: Il est complètement maf* celui la... Papa, probons** de trouver un village.
Roi: Tu dis des choses bizarre mon fils ! Tu commences à parler belge !
Narrateur: Le village ressemble drôlement au village de Suisse, mais quelque chose à l’air différent...
Villageois calme: Bienvenue étrangers.
Villageois malin: Vous avez l’air épuisé.
Villageois cuisinier: Tenez, mangez avant de vous reposer.
Villageoise en colère : Mais ne faites pas trop de bruit, il y en a qui essaie de dormir.
Villageois mystérieux : Si c’est l’Efferost que vous cherchez, allez vous reposer près du lac, demain est un autre jour.
* Expression Belge qui veut dire : Fou
**Expression Belge qui veut dire : Essayons
Scène 3
Narrateur: Le roi, le prince et la pomme se réveillent. Ils sont réveillés par une petite voix qui
chante.
L’écureuil: Lalala. Bon matin* mes amis, où allez-vous ?
Roi: Nous cherchons l’Efferost.
L’écureuil: Ah ben ca tombe bien, vous êtes au bon endroit.
Prince: J’y crois pas... on a encore voyagé... On est où exactement ?
L’écureuil: Icitte** vous êtes au Québec.
Narrateur: Le roi, le prince et la pomme continuent leur marche, et l’écureuil les suit.
Tout d’un coup, ils trouvent un point d’eau, et sous un rocher un Octonaut*** les appelle.
Octonaut: Aidez-moi, je suis coincé sous un rocher, j’ai mal.
Narrateur: Le roi va soulever le rocher pendant que le prince délivre l’Octonaut mais à ce moment là, des pirates arrivent.
Pirate 1: Nous avons pour rôle de vous interdire l’accès à la montagne.
Pirate 2: C’est trop dangereux.
Roi: S’il vous plait !
Prince: C’est vraiment important !
Pomme: Un arbre leur a demandé !
Pirate 1: Bon allez y, grimpez. Mais on vous aura prévenu.
Pirate 2: A tantôt****.
Narrateur: Le roi, le prince, la pomme et l’écureuil arrivent en haut de la montagne et y trouvent un phoenix.
Le phoenix: Mes pauvres enfants, vous avez fait tout ce voyage pour rien. Pourquoi êtes vous ici.
Roi: On cherche une feuille.
Prince: Avec ce symbole.
Le phoenix: Je sais où est cette feuille mais je ne peux pas vous la donner gratuitement. Je la protège contre le mal.
Roi: Nous ne lui voulons pas de mal, un arbre en suisse en a besoin.
Prince: Il était gentil.
Le phoenix: Je vous dirais où se trouve la feuille si vous répondez à cette énigme:
Je suis 4.
Ma première fait sourire les fleurs Ma deuxième transpire
Ma troisième donne le premier frisson
Ma quatrième fait grelotter
Le roi, le prince, la pomme, l’écureuil en même temps: Les saisons
Le phoenix: Les enfants, vous l’avez mérité. Je suis la feuille. Je viendrai avec vous rencontrer cet
arbre.
Narrateur: Le roi, le prince, la pomme, l’écureuil et le phoenix retournent en Suisse voir l’arbre qui parle.
Arbre: Je t’avais dit une personne roi ! Vous êtes cinq.
Prince: Vous avez dit une PERSONNE. Il est avec une personne, un fruit, un animal et un oiseau.
Le phoenix: Pourquoi as-tu besoin de moi ?
*Expression Québécoise qui veut dire : Bonjour
**Expression Québécoise qui veut dire : Ici
***Personnage imaginaire inventé par Dario
****Expression Québécoise qui veut dire : À bientôt
Arbre: En automne j’ai perdu toutes mes feuilles, depuis que le roi est parti il fait froid, il neige, j’ai besoin de cette feuille pour retrouver mon énergie immortelle et faire renaître le soleil.
Narrateur: Le phoenix s’envole et tout d’un coup le soleil apparait et les arbres retrouvent leurs feuilles et leurs couleurs. La pomme remonte à l’arbre, l’écureuil s’endort près de l’arbre. Le roi et le prince n’y croient pas leurs yeux.
Arbre: Roi, je t’ai promis ton avenir. Veux-tu toujours le savoir.
Roi: Non. Grâce à toi arbre, j’ai vécu une aventure extraordinaire, j’ai rencontré des amis incroyables, surmonté des obstacles inattendus. Je ne veux pas savoir mon avenir je veux continuer à le découvrir avec mon fils.